À l’approche du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, l’exposition « Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019. Raymond Depardon / Kamel Daoud » offre un témoignage unique sur l’Algérie en 1961 puis en 2019, à travers le regard de deux grands artistes : l’un français, cinéaste et photographe, revisitant ses photos d’Algérie ; l’autre algérien, journaliste et écrivain, né en 1970, après l’indépendance de son pays.
Dans le cadre de « 2022. Regards sur l’Algérie à l’IMA » (...)
Depuis l’inauguration de l’Institut du monde arabe, le Département Cinéma a toujours eu à cœur de faire connaître les cinématographies arabes et d’y sensibiliser le public parisien.
A la rentrée prochaine je quitte le navire, une nouvelle vie commence pour moi... La retraite. Je passe donc le flambeau à d’autres personnes pour vous accompagner dans ce merveilleux voyage culturel... Je vous remercie du fond du cœur de votre fidélité et de vos encouragements. Ils ont largement contribué au développement de votre site de Langue et Culture arabes.
Table ronde : Le Congrès du Caire de 1932
Présentation de l’ouvrage sur l’identité de la musique arabe
La présentation du livre « Le Congrès du Caire de 1932. La musique arabe à la recherche de son identité » par Jean Lambert sera suivie d’une table ronde avec :Frédéric Lagrange (historien de la musique (...)
تكاد دِقّة التقاط المكان أو الزمان أو الحدث أو الشخصية أن تكون العامل الأهمّ في صنع الرواية الناجحة بأيدي الروائيين الموهوبين المَهَرة، حيث تلتقي في هذه الدقة وتتناغم العناصر التي تَحدُث في ملتقاها التغيّرات، وتُشكّلُ المرآةَ التي يجد فيها القارئ نفسَه، متفاعلاً ومتغيّراً دون حسبانٍ لطبيعة الزمان والمكان والحدث والشخصية. وأن يتخطّى (...)
حوار مع زهران القاسمي الفائز بالجائزة لعام 2023
حوار مع زهران القاسمي الفائز بالجائزة لعام 2023 كيف شعرت عندما علمت بخبر فوزك؟
كانت مفاجأة كبيرة. لدرجة أنني ما عرفت ماذا أقول. لم يكن متوقعاً لأن الروايات المرشحة قوية وأنا قرأتها وأعرف قوتها وأنها تستحق، فتوقعت بنسبة ضئيلة جداً أنه يمكنني الفوز، لكن الحمدلله.
هذه هى الرواية (...)
Lundi 15 mai, le cinéma saoudien sera à l’honneur à l’Institut du Monde arabe.
Dans le cadre de la troisième édition de la Nuit du Cinéma saoudien à Paris, le public parisien est convié à découvrir les films récents du cinéma saoudien.
Toutes les informations sont sur le site de l’IMA : (...)
Du 31 mai 2023 au19 Novembre 2023, la culture palestinienne est à l’honneur à l’IMA.
"L’Institut du monde arabe a choisi de donner à voir l’élan et l’irréductible vitalité de la création palestinienne, qu’elle s’élabore dans les territoires ou dans l’exil. Approches muséales plurielles, moment d’éternité du (...)
يُقدِّم اللبناني وسام شرف، في “حديد، نحاس، بطاريّات” (2022)، شخصيتين مرتبطتين بواقعٍ لبناني، لكنّهما غير حاضرتين في السينما اللبنانية، رغم وجودهما الكثيف والفاعل في البلد واجتماعه واقتصاده، وفي تفكير أناسٍ كثيرين وسلوكهم. لاجئ سوريّ يُغرَم بعاملة منزلية إثيوبية، تعمل في بيت زوجين عجوزين لبنانيين. حبٌّ مليء بانفعالاتٍ جميلة، ولقاءات (...)
Le réalisateur libanais Wissam Charaf signe son second long-métrage sous le titre “Dirty Difficult Dangerous”. Le film aborde plusieurs thèmes : la situation du Liban, le drame des réfugiés des pays voisins et l’exploitation des travailleuses domestiques
SYNOPSIS Ahmed, réfugié syrien espérait (...)
Traductrice et interprète en arabe pour François Mitterrand et Jacques Chirac, ambassadrice de France au Koweït, directrice du centre de langues de l’Institut du monde arabe à Paris, Nada YAFI soulève la question de la place de la langue arabe en France. « Tantôt célébrée, notamment dans le monde (...)
Madame Dounia Zebib, IA-IPR d’arabe, nous a signalé un article fort interessant publié par l’Orient du jour, à l’occasion de la journée mondiale de la langue arabe.
La journaliste, Soulayma MARDAM BEY, revient sur « un paradoxe français ». Classée deuxième en France et sixième au monde, la langue arabe (...)
L’IMA (Institut du monde arabe) présente une exposition sur le patrimoine d’Ouzbékistan de la fin du XIXe au début du XXe siècle, du 23 Novembre 2022 - 4 juin 2023
L’exposition « Sur les routes de Samarcande, merveilles de soie et d’or » présente des œuvres présentées pour la première fois en dehors (...)
العربية أكثر لغات المجموعة السامية متحدثينَ، وإحدى أكثر اللغات انتشارًا في العالم، يتحدثها أكثر من 422 مليون نسمة ويتوزعون في المنطقة المعروفة باسم الوطن العربي، بالإضافة إلى العديد من المناطق الأخرى المجاورة كتشاد ومالي السنغال وإرتيريا. كما أنها تدرس بشكل رسمي في الدول الإسلامية والدول الإفريقية المحاذية للوطن العربي.
Fruit d’un partenariat entre la France et les Etats arabes, l’Institut du monde arabe a vocation à faire connaître l’apport du monde arabe à la civilisation universelle et de promouvoir le dialogue entre l’Orient et l’Occident.
Institut du monde arabe 1, rue des Fossés Saint-Bernard - Place Mohammed V - 75236 PARIS CEDEX 05 - Tél. 01 40 51 38 38 - Fax. 01 43 54 76 45 - Serveur vocal 01 40 51 38 11
A l’occasion des 20 ans de Radio Campus Paris, Arabic Sound System, ONORIENT et Radio Campus Paris s’associent pour une soirée de festivités placée sous le thème de la transmission avec dix heures de festivités en direction de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, le tout dans le cadre inoubliable de l’Institut du Monde Arabe, et retransmis en direct sur les ondes de Radio Campus Paris ! Au programme : une émission de radio en public animée par ONORIENT, des showcases, et une nuit de musique avec une sélection des meilleurs diggers et diggeuses du moment.
La coopération culturelle entre l’Egypte et la France a commencé sous le règne de Mohamed Ali, vice-roi d’Egypte (1805-1848), qui était le fondateur de l’Egypte moderne. Cette coopération a commencé par l’envoi de boursiers égyptiens pour étudier les différentes sciences d’ingénierie et d’industrie militaire. Dès cette époque, il y avait toujours un responsable de ces boursiers et c’était le début de cette représentation culturelle égyptienne en France.
Le Bureau Culturel de l’Ambassade d’Égypte à Paris a pour mission de favoriser et de promouvoir les échanges culturels et la coopération scientifique entre l’Égypte, la France, la Suisse et la Belgique. Il élabore et met en œuvre des plans d’action visant à mieux faire connaître la culture égyptienne et assure des cours d’arabe classique et dialectal.
Le stand-up ? Une variété de one-man show largement sortie des ornières du communautarisme depuis ses débuts en France, au milieu des années 1990. Et si les humoristes issus de l’immigration s’y taillent la part du lion, c’est pour faire rire de mille et une façons, de tous et de tout… Brillante illustration avec Yassine Bellatar, Smaïn et Haroun et respectivement, en première partie, Samia Orosemane, Mademoiselle Dalila et Wary Nichen. Egalement au programme, une table ronde animée par Nathalie Simon, journaliste au « Figaro » : « L’humour peut-il être culturel ? ».
En 2015, ONORIENT donne naissance à ONORIENTOUR, un projet citoyen de journalisme itinérant : trois explorateurs sillonnent 6 pays du monde arabe pendant 6 mois à la rencontre de 130 artistes et acteurs culturels pour vivre une immersion dans ses scènes culturelles actuelles.
Au cours de leur rihla, une question les taraude : Qu’est-ce qu’être arabe ? Ils la poseront à tous les artistes qu’ils rencontrent sur leur route. Des musiciens nubiens en Égypte, touareg en Algérie en passant par les street-artistes Beyrouthins, les artistes du film-documentaire d’ONORIENT vous feront vivre une « Rihla » sur les sentiers culturels du monde arabe.
Le retour de la Rihla
En 2018, ONORIENT est de retour avec un tout nouveau projet la Rihla du documentaire Rihla. Son objectif est de faire voyager le documentaire Rihla pour une série de projections débats qui interrogent la notion d’arabité à la lumière de témoignages croisés d’artistes et de spectateurs. En réinvitant les artistes qui ont pris part au projet et en faisant participer les spectateurs, ce projet cherche à questionner les imaginaires collectifs autour de cette sur cette problématique complexe et fascinante. Alors, prêts à participer à l’aventure ? Suivez le périple tout au long de son déroulement par ici.
A mi-chemin entre guide urbain et agenda culturel, ONORIENT est un web-magazine qui célèbre l’effervescence artistique et culturelle du Maghreb et du Moyen-Orient.
Cette vitrine de la culture orientale s’adresse à lectorat avide de découvrir les nouveautés de cette scène culturelle, ses tendances de fonds, ses talents, ses événements et ses actualités.
Véritable détecteur de tendances, ONORIENT a pour but de mettre en relief la culture d’aujourd’hui et la façon avec laquelle la jeunesse la perçoit – à travers un support connecté, mis à jour et en constante évolution.
Le duo Nazih Yassine et Mohammad Abrash, complémentaire et complice, a décidé d’étendre l’initiative « Embellir ton école et ton entourage » et de voir encore plus grand en investissant les façades d’immeubles abîmées par les conflits qui ont touché la ville. « Nous avons voulu effacer les dégâts causés par la guerre et redonner une seconde vie à Tripoli », dit Mohammad Abrash.
Les graffitis se comptent par dizaines dans les rues tripolitaines. L’artiste a littéralement imprégné les quartiers de son art. Sur des pans de murs, ou plus largement sur d’immenses façades de plusieurs dizaines de mètres de hauteur, le jeune homme n’a aucune limite. Il revisite le drapeau libanais en utilisant une bombe de couleur rouge sang. Dans un autre quartier, il joue sur une métaphore en représentant un adolescent portant un Rubik’s cube sur la tête avec la phrase « Penser pour être libre ». À travers ses graffitis, il a trouvé le moyen de s’exprimer en abordant notamment le sujet de l’éducation des jeunes...
L’Orient-Le Jour est le seul quotidien libanais d’expression française, né le 15 juin 1971 de la fusion de deux journaux, L’Orient (fondé à Beyrouth en 1924) et Le Jour (fondé à Beyrouth en 1934)... Lire la suite, cliquer ici.
L’avenir de cette publication culturelle, créé en 1991 par l’Institut du monde arabe, est mis en cause, alerte son rédacteur en chef.
Créée en 1991, Qantara (« le pont ») est un magazine trimestriel bien connu de ceux qui s’intéressent au monde arabe. Consacré à la culture – de l’édition au théâtre en passant par la poésie, la littérature ou encore l’histoire –, il a notamment bâti sa réputation sur son dossier central d’une trentaine de pages, très fouillé, et sur le choix de ses contributeurs – universitaires, intellectuels, journalistes ayant une connaissance pointue de ces sujets.